La santé mérite une réforme en profondeur
Le sujet de la Santé est au cœur des préoccupations des Français mais reste cependant souvent absent du débat politique.
Le sujet de la Santé est au cœur des préoccupations des Français mais reste cependant souvent absent du débat politique.
Jean Leonetti est intervenu dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale pour interpeller Marisol Touraine qui a présente le dernier projet de la loi de finances de la sécurité sociale de la mandature.
La Fondation des usagers du système de santé annonce qu’elle a retenu trois projets d’acteurs associatifs et de professionnels de santé qu’elle financera en 2016 dans les domaines de la prévention, de l’amélioration de l’accès aux soins des populations précaires, et d’amélioration de la qualité de prise en charge. Ces projets bénéficieront d’un soutien financier de la Fondation pour un total de près de 50.000 euros.
Plus encore que des mesures, il s’agit d’un état d’esprit. Si vous n’avez pas voulu ou pas su réaliser la véritable modernisation du système de santé, c’est parce que vous pensez qu’il faut réformer dans la contrainte. Nous pensons, nous, qu’il faut moderniser dans la confiance. C’est là que se situe la vraie différence. Nous faisons confiance au système de santé et nous voulons lui donner plus de liberté et plus d’efficacité
La Fédération de l'hospitalisation privée (FHP) a annoncé jeudi la création d'une "Fondation des usagers du système de santé", présidée par le député et cardiologue Jean Leonetti, destinée à faire "progresser la démocratie sanitaire" et "défendre les droits des patients".
Un sondage Ifop réalisé pour la Fondation auprès d’un échantillon de 2.000 personnes montre que les Français portent sur leur système de santé un regard qui n’est pas exempt de critiques et qu’il reste encore beaucoup de travail à faire sur le plan de la prévention et de la démocratie sanitaire.
Dans le cadre des Questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, Jean Leonetti interpellé Marisol Touraine afin qu'elle réécrive le projet de décret sur les Groupements Hospitaliers de Territoire
Le suivi des dépenses n’obéit pas à la même logique pour l’enveloppe soins de ville et l’enveloppe établissements de santé. Dans le premier cas, l’enveloppe permet de distingue précisément la part des dépenses liée aux honoraires, aux transports, aux médicaments… Dans le second cas en revanche, l’enveloppe établissements de santé est un tout complet qui ne permet pas de distinguer en son sein les différentes composantes de la dépense.
Le droit des GCS s’oriente semble-t-il, vers une harmonisation des dispositions législatives et réglementaires. Le risque est que, dans le cadre retenu, le taux de redevance appliqué au praticien libéral soit celui prévu à l’article R.6146-21 du code de la santé publique. Or, ce taux très élevé par rapport à ceux pratiqués dans les établissements privés, est rédhibitoire et limitera, voire empêchera, les hôpitaux de recruter des libéraux payés à l’acte.
Les mesures conventionnelles, qui ont des répercussions significatives pour le pilotage et la gestion des établissements de santé, puissent faire l’objet d’un avis préalable des fédérations hospitalières publiques et privées, dans le cadre des concertations précédant le mécanisme d’approbation tacite ou d’opposition expresse du ministre chargé de la Sécurité sociale.